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Un numéro d'urgence local à la Réunion pour les femmes victimes de violences !Ce sont 4 femmes réunionnaises qui sont tuées chaque année dans leur sphère privée à La Réunion. Ce département d'Outre-mer est le troisième département de France le plus violent envers les femmes. Chaque jour, près de sept plaintes sont déposées sur l’île pour violences conjugales. Entre 2019 et 2020, le nombre de dépôts de plaintes a augmenté de 13 %. Des chiffres qui montrent aussi que la parole se libère à La Réunion. Mais, selon une étude sur les féminicides à la Réunion, de 2006 à 2019, 38 % des femmes tuées avaient fait un signalement à la justice.4 175 sur 5 000 SignaturesCréée par Femmes solid'Air
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Protégeons le droit à l'avortement en FranceLa Cour suprême des États-Unis vient d'enterrer un arrêt qui, depuis près d’un demi-siècle, garantissait le droit des Américaines à avorter. Cette remise en cause d'un droit fondamental des femmes risque de lancer un signal à toutes les forces conservatrices et rétrogrades dans le monde, y compris en France. Plusieurs groupes politiques viennent d'annoncer leur intention de déposer une proposition de loi pour inscrire le droit à l'IVG dans la Constitution française. Mais derrière la belle unité de façade, des voix politiques dissonantes se font déjà entendre, certains disant qu'une telle mesure n'est pas nécessaire, d'autres disant qu'il y a des sujets plus urgents. Il est toujours urgent d'agir quand il s'agit de protéger les droits des femmes, sans cesse bafoués et remis en cause. Et comme on vient de le voir aux Etats-Unis, nul ne prévoit les remises en cause futures du droit des femmes à disposer de leur corps. Agissons sans plus attendre et demandons à tous les groupes politiques de soutenir et voter largement une loi pour inscrire l'IVG dans notre constitution.4 679 sur 5 000 SignaturesCréée par Mika L
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Pour la démission de Damien Abad, ministre accusé de violLe tout nouveau ministre des Solidarités et du Handicap, Damien Abad, est accusé de viol par deux femmes, selon un article de Mediapart. (MAJ : Par trois femmes à présent, cf. le communiqué de presse ci-dessous) Nous, l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles avions prévenu les responsables des partis politiques en charge de son investiture en tant que candidat aux législatives. Nous n’avons pas été entendues. Il est encore en poste. Il n’est pas le seul mis en cause pour faits de violences sexistes et sexuelles. Gérald Darmanin a lui aussi été mis en cause et a reconnu avoir eu des rapports sexuels avec deux femmes qui l’ont accusé de viol et de trafic d’influence, alors qu’il utilisait son statut d’élu pour les aider dans leurs démarches. Il nous paraît évident que ces comportements sont indignes de personnes qui occupent un emploi destiné normalement à répondre aux besoins de l’intérêt général, surtout au sein d'un gouvernement qui prétend faire de la lutte contre les violences faites aux femmes une priorité. Comment ce gouvernement peut-il penser ne pas donner l’impression d’envoyer un message d’impunité à l’ensemble des hommes violents de ce pays ? Nous voulons envoyer un signal clair contre ces violences massives dans notre société et exigeons dès maintenant la démission de Damien Abad. Cela aura le mérite de dire aux responsables politiques mis en cause pour violences sexistes et sexuelles qu'ils n'ont pas leur place pour représenter les citoyennes et citoyens et aux femmes victimes de violences "nous vous croyons, ils n'avaient pas le droit".7 360 sur 8 000 SignaturesCréée par Observatoire VSS en politique